Rome ne s'est pas faite en un jour.
Bleu Citron prod. non plus.

Avant de me lancer, à l'âge de vingt-sept ans,
au titre de photographe et réalisateur indépendant,
il m'aura fallu :

• un diplôme aux fonctions d'architecte
• une maîtrise en audiovisuel
• dix mois en tant qu'aspirant-photographe sur la base aérienne 702 d'Avord
• et cinq ans à réaliser des vidéos éducatives au Centre régional de Documentation pédagogique.

Si mon prénom original est bien Médéric,
je trouve que Med sonne davantage comme une signature.
Pas vous ?

Et pourquoi "Bleu Citron" ? me demande-t-on souvent.
Simple : voulant éviter à tout prix les noms trop ronflants, Bleu Citron (titre d'un morceau de SIXUN que j'écoutais à l'école d'archi, tout comme Petit Chartier) possédait un exotisme mystérieux et poétique qui m'a séduit.

Comme toute entreprise, j'ai connu des hauts et des bas, mais je ne changerais rien
si tout était à refaire.
Pourquoi ?

J’aime à croire que je porte mes cicatrices avec dignité. J’appartiens au cercle restreint de ceux qui ont souffert mais qui sourient encore, des loosers qui ne cessent d’essayer, de ceux qui préfèrent les erreurs aux évitements, ceux que la vie a maltraités mais qui sont restés gentils, des déçus qui restent tournés vers les autres, du moins vers ceux qui le méritent. 

Parce que j'ai aussi appris que les échecs sont des leçons à retenir.
L'expérience m'a permis de progresser,
d'approfondir mes compétences,
d'affirmer mon goût pour "l'anti-cliché",
et de m'adjoindre les services de partenaires exceptionnels afin de tester mon professionnalisme dans toute l'Europe.

Ainsi, mes clients font appel à mes services en toute confiance.